Grève du 16 novembre 2017, mobilisation de ce matin à Besançon et de cette après-midi à Dijon, lors du CT
Aussi bien à Besançon qu’à Dijon, de nombreux agents sont venus manifester pour dire à Mme la présidente que pour la négociation globale le compte n’y était pas et qu’ils refusaient de payer la fusion des régions.
À Besançon, les agents en ont profité pour perturber la conférence de presse de Mme la présidente, qui voulait faire passer le message que ces négociations s’étaient bien passées et que les agents n’étaient pas perdants.
Les agents lui ont prouvé le contraire en venant manifester leur colère à la fenêtre de la présidente.
La présidente a demandé au directeur de cabinet de recevoir, en urgence, les organisation syndicales, après 40mn d’entretien, le directeur de cabinet a noté les points de blocages de l’intersyndicale, sans apporter d’améliorations !!!!
À Besançon, les agents en ont profité pour perturber la conférence de presse de Mme la présidente, qui voulait faire passer le message que ces négociations s’étaient bien passées et que les agents n’étaient pas perdants.
Les agents lui ont prouvé le contraire en venant manifester leur colère à la fenêtre de la présidente.
La présidente a demandé au directeur de cabinet de recevoir, en urgence, les organisation syndicales, après 40mn d’entretien, le directeur de cabinet a noté les points de blocages de l’intersyndicale, sans apporter d’améliorations !!!!
À Dijon, les agents se sont aussi beaucoup mobilisés et attendaient les organisations syndicales, parties en CT, devant le conseil régional. Après plusieurs interruptions de séance nous avons fait aux agents le débrifing de ce qui se passait dans ce CT, au nom de l’intersyndicale.
Dès le début, le vice-président nous a dit qu’il n’y avait rien à négocier et que ce dossier passerait, comme prévu, en assemblée plénière, le 17 novembre 2017.
Quel mépris pour nous agents !!!!!
Pendant 4H, juste des explications de textes et, comble du mépris, lorsque l’intersyndicale a de nouveau avancé la proposition d’augmenter au minimum de 60 euros net par mois les régimes indemnitaires, pour les agents de catégorie B et C, le vice-président a répondu "Vous pouvez vous assoir dessus".
Voilà le ton de ces négociations. C’est clair, la présidente à choisi de faire des économies sur le dos des agents, dans le cadre de cette négociation globale.
Pour nous c’est inacceptable !!!!!
Demain, nous allons interpeller les élus lors de la séance plénière à Montbéliard !
Nous comptons sur votre mobilisation !
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